Depuis 1997, chaque année le 15 mars, des militants de différentes régions du monde appellent à des manifestations et à des actions directes contre la répression ou les brutalités policières. Pour l’instant, il est difficile de se rassembler en raison de la pandémie, mais cela ne signifie pas que nous resterons silencieux. La violence des autorités détruit des communautés locales et donne lieu à des situations où toute initiative est passible non seulement d’amendes ou de peines d'emprisonnement, mais aussi de coups et de tortures ! Si les violences à l'encontre de militants politiques sont, dans une certaine mesure, en recul par rapport au 20e siècle, aujourd'hui, les violences à l'encontre de gens ordinaires ne cessent d’augmenter. C’est peut-être dû à l'indifférence, au manque de solidarité ou à la discrimination basée sur l'âge ou l’appartenance ethnique.
En cette Journée internationale contre la répression policière, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne Internationale s'associe à la classe ouvrière, à la société civile et aux mouvements sociaux pour condamner les actes de violence policière et la répression de l'État.