La JOCI se tient aux côtés des peuples d'Ukraine et de Russie qui ne veulent pas de cette guerre

Ukraine

Des manifestants déploient une banderole aux couleurs du drapeau ukrainien sur laquelle on peut lire « Stop [président russe] Poutine, stop à la guerre » lors d'une manifestation à la Porte de Brandebourg à Berlin, le 30 janvier 2022. - Les manifestants ont critiqué le rassemblement de troupes par Poutine près de la frontière ukrainienne et ont appelé l'Allemagne à jouer un rôle plus actif dans la défense des intérêts de l'Ukraine. John MACDOUGALL-AFP

L’heure est cruciale pour tous ceux d’entre nous qui croyons en la démocratie ; le moment est venu de la défendre dans notre société aujourd'hui. L'invasion de Poutine n'est pas seulement une attaque contre l'Ukraine. C'est une attaque contre la liberté. Une attaque contre la démocratie. Une attaque contre la vérité.

« Aujourd'hui, j'ai contacté Martha, la déléguée au Conseil international de la JOCI en 2016. Sa famille et elle-même vont bien et ont quitté Lviv pour s'installer à Ivano-Frankivsk, tandis qu'Ana, l'ancienne dirigeante de la JOC d’Ukraine a fui en Pologne, mais sa famille se trouve dans la région de Tchernigov où se déroule la guerre », a déclaré Leizyl, trésorière internationale de la JOCI à Bruxelles.

Leizyl tente sans relâche de contacter Ana par téléphone, dans l’espoir qu’elle lira son message.

La bibliothèque numérique Joseph Cardijn recherche des bénévoles

ACI library

L'Australian Cardijn Institute a lancé la bibliothèque numérique Joseph Cardijn (Joseph Cardijn Digital Library - JCDL) (www.josephcardijn.com) en août 2020. Le site héberge déjà plus de 500 documents originaux rédigés en français par Cardijn et datant de toutes les périodes de sa vie, depuis 1907 jusqu’à peu de temps avant sa mort en 1967. Plus d'une centaine de ces articles ont été traduits en anglais.

Le site héberge également une grande variété d'autres ressources biographiques sur la vie de Cardijn, notamment des photos et des vidéos. Jusqu'à présent, la JCDL a accueilli près de 16000 visiteurs uniques, avec une moyenne de 40 personnes par jour au cours de l’année 2021 et près de 106 000 consultations de documents.

La JOCI exige un accès pour tous au vaccin contre le Covid-19 – et vite !

« Les États-Unis fournissent actuellement de nombreuses doses de vaccin à d'autres pays, dont les Philippines, à titre de cadeau. Mais ils le font aussi parce qu'ils ont trop de doses qui vont expirer. » (Homme, Philippines)

L'accès aux vaccins varie énormément d'un pays à l'autre. Alors que certaines nations lèvent leurs restrictions grâce au taux croissant de personnes vaccinées sur leur territoire, d'autres sont confrontées à une augmentation des cas et des décès. À la mi-juin 2021, moins de 1% de la population du continent africain avait été vaccinée.[1]

Cette inégalité d'accès aux vaccins ne fait que s'ajouter à l’accroissement général des inégalités que la pandémie occasionne depuis qu’elle a éclaté : inégalités fondées sur l'âge, le sexe, la nationalité et la richesse. Ironiquement, cette inégalité d'accès aux vaccins entraîne une inégalité encore plus grande : outre les risques sanitaires pour ceux qui disposent de beaucoup moins de vaccins, le virus continue d'affecter leurs sociétés et leurs économies.

Face à cette réalité, nous nous souvenons des déclarations politiques de 2021 promettant un scénario bien différent. Entre autres cette promesse de la présidente de la Commission européenne qui parlait du vaccin contre le Covid-19 comme de « notre bien commun universel »[2]. Elle a déclaré cela en annonçant une « réponse mondiale au coronavirus ». Le mécanisme COVAX a été mis sur pied sur la base de ce principe de solidarité mondiale et d'humanité commune, visant à une distribution équitable des vaccins, en commençant par la vaccination de 20% de la population de chaque pays. Pourtant, cela n'a manifestement pas fonctionné, en raison du manque d'argent de COVAX et encore plus du fait que les pays ont conclu leurs propres contrats avec les entreprises pharmaceutiques.[3]